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Interaction et coopération
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Interaction et coopération
Le robot n’est pas isolé. Il agit dans un environnement peuplé d’êtres humains, et éventuellement d’autres robots. Il doit donc posséder des capacités conjointes de communication et d’action.
On peut distinguer la coordination (par exemple le partage de la ressource espace par l’évitement mutuel, ou par décision partagée), de la coopération (par exemple pour la réalisation de tâches nécessitant la participation effective de plusieurs acteurs). Les systèmes multi-robots peuvent utiliser des mécanismes d’interaction distribués permettant de gérer la complexité due au nombre. Quand la population est importante (robotique d’essaim) l’émergence de patrons d’interaction collective devient un sujet d’étude.
L’interaction avec l’homme accroît la complexité de l’environnement et sa variabilité. Cette interaction est cognitive et/ou physique. Il est donc nécessaire d’utiliser des modèles des capacités perceptives, des actions et des contraintes bio-mécaniques de l’homme, ainsi qu’une perception multimodale de son visage, de ses gestes, de ses postures et de ses attitudes pour les reconnaître et les interpréter. Le lien avec la biomécanique, la physiologie et la psychophysiologie est ici patent. L’interaction inclut la prise de décision conjointe hommerobot, qui nécessite aussi des modèles rendant compte des rôles et de leur partage, ainsi que le raisonnement à partir d’intentions conjointes.
On peut distinguer la coordination (par exemple le partage de la ressource espace par l’évitement mutuel, ou par décision partagée), de la coopération (par exemple pour la réalisation de tâches nécessitant la participation effective de plusieurs acteurs). Les systèmes multi-robots peuvent utiliser des mécanismes d’interaction distribués permettant de gérer la complexité due au nombre. Quand la population est importante (robotique d’essaim) l’émergence de patrons d’interaction collective devient un sujet d’étude.
L’interaction avec l’homme accroît la complexité de l’environnement et sa variabilité. Cette interaction est cognitive et/ou physique. Il est donc nécessaire d’utiliser des modèles des capacités perceptives, des actions et des contraintes bio-mécaniques de l’homme, ainsi qu’une perception multimodale de son visage, de ses gestes, de ses postures et de ses attitudes pour les reconnaître et les interpréter. Le lien avec la biomécanique, la physiologie et la psychophysiologie est ici patent. L’interaction inclut la prise de décision conjointe hommerobot, qui nécessite aussi des modèles rendant compte des rôles et de leur partage, ainsi que le raisonnement à partir d’intentions conjointes.

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